La dose typique due au rayonnement ionisant de fond provenant de l’environnement est comparée à la dose estimée due à l’accident de Fukushima Daiichi dans l’année suivant l’accident pour un canadien vivant en Colombie Britannique. La figure contient deux diagrammes à secteurs. Le premier montre les facteurs normaux contribuant à la dose de rayonnement ionisant de fond pour un canadien et le second montre la dose estimée due à Fukushima en relation avec la dose de fond. La dose de rayonnement ionisant de fond est due au 2/3 par l’exposition au radon à un niveau de 1.98 mSv par année. Les autres doses de fond sont : l’ingestion à 0.4 mSv par an, la dose externe terrestre à 0.35 mSv par an et la dose due au rayonnement cosmique à 0.29 mSv par an ce qui nous donne une dose totale annuelle d’environ 3 mSv par an. En contraste avec cette dose environnementale, les estimés les plus élevés de la dose d’exposition d’un canadien due à Fukushima ne représente qu’un petit secteur du diagramme avec ses 0.0044 mSv par an sur le total de 3 mSv par an de la dose totale qui inclue la dose due au rayonnement de fond.